"Nous observons la dégradation de la situation en Égypte avec une extrême préoccupation. Les Égyptiens doivent pouvoir exercer librement et pacifiquement leur droit de manifester et bénéficier de la protection des forces de sécurité. Les agressions contre les journalistes sont totalement inacceptables.

Nous condamnons tous ceux qui utilisent ou encouragent la violence, qui ne fera qu’aggraver la crise politique que traverse l’Égypte. Seule une transition rapide et ordonnée vers un gouvernement à représentation élargie permettra de surmonter les défis auxquels l’Égypte doit faire face aujourd’hui. Ce processus de transition doit commencer dès maintenant."