• La World Policy Conference, organisée par l’Institut français des relations internationales à Vienne, s’est transformée en une conférence anti-syrienne. Après l’intervention belliqueuse du prince Turki al-Fayçal, Ehud Barak a prédit la chute imminente de Bachar el-Assad.

• Cependant aucun analyste n’entrevoit actuellement de scénario crédible d’un changement de régime sans intervention militaire étrangère.

• Lors du Sommet politique annuel de la Foundation for Defense of Democracies à Washington, des leaders républicains et démocrates ont souligné que faire tomber la Syrie était un préalable à toute guerre contre l’Iran. Ils ont aussi réaffirmé que la Syrie est trop forte pour qu’une telle guerre puisse être sous-traitée par les USA aux Européens ou au Conseil de coopération du Golfe.

• Dans un entretien au Spiegel, Burhan Ghalioun a réaffirmé que l’Armée syrienne libre doit rester dans un rôle défensif. Il a indiqué que s’il parvient au pouvoir, il ne fera pas la chasse aux bassistes comme Paul Bremer l’avait fait en Irak. Enfin, il a précisé que face à Israël, la nouvelle Syrie soutiendra l’initiative de paix saoudienne.

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