Alors qu’aux États-Unis le budget fédéral fait apparaître les sommes allouées aux divers services secrets, les crédits affectés au Bureau du renseignement du département de l’Énergie n’apparaissent plus dans le budget qui vient d’être présenté au Congrès par la Maison-Blanche. Théoriquement, il n’existe donc plus. Dans la pratique, il en est autrement comme le montre la mise à jour de son site internet officiel. Mais désormais, il échappe à tout contrôle parlementaire.
Sous l’administration Bush-Cheney, ce service est réputé avoir infiltré les principales compagnies pétrolières dans le monde et être devenu l’exécuteur des pires « coups tordus ».