Dans l’hystérie qui suit l’attaque de Pearl Harbor, en décembre 1941, le président des États-Unis Franklin Delano Roosevelt ordonne à l’armée de regrouper dans des camps tous les citoyens d’origine japonaise, hommes, femmes et enfants, au motif que leur loyauté est douteuse. Près de 150 000 personnes - du nourisson au vieillard - sont internées et leurs biens confisqués. Parmi eux des élus, des juges et des anciens combattants. Le gouvernement ne s’excusera officiellement qu’en 1992 et jurera « de ne plus jamais priver un citoyen américain de ses droits constitutionnels ». Les bonnes intentions dureront jusqu’au 11 septembre 2001, date à partir de laquelle des milliers de citoyens états-uniens d’origine arabe seront emprisonnés, tenus au secret pendant des mois et privés de leurs droits élémentaires.
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