Figure historique de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie, fondateur du journal Libre Algérie, l’avocat Ali Mecili irrite le pouvoir par ses dénonciations de la corruption et des manipulations politiques. Le 7 avril 1987, il est abattu devant son domicile à Paris où il vit en exil. La police française retrouve assez rapidement le meurtrier, un petit criminel algérien du nom d’Abdelmalek Amellou. Or celui-ci est en en possession d’un ordre de mission des services secrets algériens. Aussi, sur ordre direct du ministre de l’Intérieur, Charles Pasqua, il est expulsé discrètement vers Alger où il est accueilli avec les honneurs. Paris n’a aucune intention de se fâcher avec le pouvoir du président Chadli, les généraux et les hommes d’affaires, dont les pétro-dinars alimentent aussi les caisses politiques françaises. Ce n’est qu’en 2001 seulement, qu’un ancien agent algérien, Hichem Abdoud, révélera le complot qui a coûté la vie à Ali Mecili.
Réseau Voltaire |

Libye


L’Italie coopére à 360° avec la Libye, mais quelle Libye ?

Libye : le cri des esclaves étouffé par les ONG au Festival des Droits Humains

Laboratoire Libye : le front méconnu

Narration et réalité de la crise libyenne
suiteLagarde, Christine


La faillite du Liban a été délibérément provoquée par le FMI de Christine Lagarde

L’armée polonaise sous protectorat germano-US

Christine Lagarde pratique la numérologie

Grèce : Christine Lagarde reprend du service pour l’industrie de Défense US
suite
Restez en contact
Suivez-nous sur les réseaux sociaux
Subscribe to weekly newsletter