Le 19 avril 1965, Sir Andrew Gilchrist, ambassadeur britannique à Djakarta, écrit au Premier ministre travailliste Harold Wilson : « Un peu de plomb et de poudre investis en Indonésie seraient les préliminaires d’un changement effectif et pourraient grandement aider nos affaires (…) Les orientations économiques et sociales de Soekarno empèchent ce pays d’offrir son important potentiel aux exportateurs britanniques, je pense que cela vaut la peine que nous intervenions activement pour nous assurer d’une bonne part du gateau indonésien ». Wilson facilite le coup d’État, mené en octobre 1965 sous l’étroit contrôle du Département politique de l’ambassade US qui compile et tient à jour une liste de 40 000 cadres communistes à éliminer. Le New York Times parlera « d’un des massacres les plus sauvages de l’histoire politique moderne » : près de 500 000 Indonésiens et Chinois seront torturés et assassinés par l’armée et les milices politiques .
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