L’Institut Reuters pour l’étude du journalisme à l’Université d’Oxford a publié une étude sur la diffusion de fausses informations par Internet, en France et en Italie.

Concernant la France, il s’est appuyé sur la liste de sites « non fiables » établie par Le Monde. Il en a exclu Voltairenet.org.

Publié en une dizaine de langues, Voltairenet.org est devenu en une quinzaine d’années une source d’analyse reconnue par de nombreux ministères des Affaires étrangères et de la Défense dans le monde qui reprennent ses articles dans leurs revues de presse.

L’étude de l’Institut Reuters montre que de nombreux articles sont beaucoup plus lus via Facebook que sur les sites Internet qui les ont publiés.

Cependant, l’étude ne va pas plus loin. En effet, il est impossible de comparer l’influence de sites Internet commerciaux et non-commerciaux (c’est-à-dire à la fois publics et sans publicité). Certains comprennent toutes sortes de rubriques, tandis que d’autres uniquement une thématique précise ; certains contraignent les lecteurs à venir lire leurs articles chez eux et d’autres encouragent au contraire la reprise de leurs articles sur de nouveaux supports ; etc.

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