Boria Alexeyev, directeur central au ministère russe de la Défense, a déclaré, lors d’une conférence de presse le 1er mai à Moscou que les bombardements avaient déjà provoqué une catastrophe écologique. Selon elle, il faudra au moins vingt ans pour que les toxiques dégagés par les bombardements de complexes pétrochimiques se dispersent.