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La pandémie de COVID-19, qui est sans précédent, est un puissant rappel de nos interactions et de nos vulnérabilités communes. Le virus ne connaît pas de frontières. La lutte contre cette pandémie exige une réponse internationale transparente, robuste, coordonnée, à grande échelle et s’appuyant sur des données scientifiques, dans un esprit de solidarité. Nous nous engageons avec force à présenter un front uni face à cette menace commune.
Nous déplorons la perte tragique de vies humaines et les souffrances (...)

Les chefs d’État et de gouvernements cherchent des occasions de se rencontrer pour traiter d’affaires bilatérales, voire multilatérales. Ils cèdent donc à la réunionite, une maladie qui consiste à tenir des sommets inutiles en soi, juste pour pouvoir négocier en coulisse sur d’autres sujets, sans avoir à justifier la rencontre. Le sommet du G20 de Hangzou n’a pas échappé à cette nouvelle règle.

1. Nous, chefs d’État et de gouvernement du G20, nous sommes réunis à Antalya les 15 et 16 novembre 2015 pour définir de nouvelles actions collectives nous permettant de parvenir à une croissance forte, durable et équilibrée pour renforcer la prospérité de nos concitoyens. Nous sommes résolus dans notre volonté de garantir une croissance robuste et solidaire et de créer davantage d’emplois de meilleure qualité. Nous reconnaissons que, pour parvenir à une croissance solidaire et consolider la (...)

1. Nous condamnons dans les termes les plus vifs les attentats terroristes odieux commis à Paris le 13 novembre et à Ankara le 10 octobre et qui constituent un affront inacceptable fait à l’humanité tout entière. Nous adressons nos sincères condoléances aux victimes de ces attentats terroristes et à leurs familles. Nous réaffirmons notre solidarité et notre détermination dans la lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes et en quelque lieu que ce soit.
2. Nous demeurons unis dans notre combat (...)

Les Russes n’ont pas du tout la même perception du G20 à Brisbane que les « Occidentaux ». Non seulement, pour eux, ils n’ont pas critiqué la politique ukrainienne de Vladimir Poutine, mais ce sont eux qui ont refusé d’aborder cette question au cours du sommet, laissant leur dirigeants distiller de petites phrases dans les couloirs pour alimenter leur propagande. Pour Andreï Sorokin, il faut en tirer la conclusion et se tourner vers l’Orient.

Pour Alfredo Jalife, le G20 de Brisbane n’a pas été le théâtre d’un isolement de la Russie, mais d’une fracture toujours plus prononcée entre les membres des BRICS d’un côté, et les alliés de Washington de l’autre. Les premiers ont d’abord pris acte de la mauvaise foi des Occidentaux qui s’étaient engagés, en 2010 à Séoul, à une réforme du FMI jamais terminée. Puis, ils ont réaffirmé leurs intérêts communs et leur décision de créer un système international alternatif. Par ailleurs, il semble que l’acharnement des médias atlantistes à tourner en dérision le départ anticipé du président Poutine vise à masquer les rumeurs sur un possible attentat contre lui.

L’échec occidental au G20 aura été masqué aux populations européennes et états-uniennes grâce à un vaste effort de propagande montrant un président Poutine conspué par ses homologues à propos de sa politique ukrainienne. Or, à aucun moment, le nom de l’Ukraine n’a été prononcé lors de ce sommet. La propagande atlantiste a créé une confusion entre les déclarations agressives des chefs d’État occidentaux en marge du sommet et le sommet lui-même. Manlio Dinucci revient sur ce G20 et l’avancée sino-russe.

À S.E. M. Tony Abbott Premier ministre d’Australie
Les 15 et 16 novembre prochains, vous présiderez à Brisbane le sommet des chefs d’État et de gouvernement des vingt économies les plus importantes du monde, concluant ainsi la présidence australienne du groupe de l’année écoulée. Cette présidence s’est révélée une excellente occasion pour tous d’apprécier les contributions importantes de l’Océanie à la gestion des questions mondiales, ainsi que ses efforts en vue de promouvoir l’intégration constructive de (...)

Les ministres de l’Emploi et de l’Économie, ainsi que les gouverneurs des banques centrales, des États membres du G20 se sont réunis à Saint-Petersbourg, du 18 au 20 juillet 2013.
Cette réunion visait à préparer le sommet des chefs d’État et de gouvernement qui se tiendra les 5 et 6 septembre.
Les participants ont examiné les propositions de l’OCDE pour soumettre à l’impôt les multinationales et autres compagnies qui lui échappent partiellement.
L’Organisation pour la coopération et le développement en (...)

Les réunions s’enchainent à cadence élevée pour les dirigeants mondiaux. Après le sommet de l’Otan et le G8 à Chicago et juste avant le sommet de la terre à Rio, puis le Sommet européen à la fin du mois à Bruxelles, Alfredo Jalife analyse la réunion du G20 qui vient d’avoir lieu au Mexique. Selon lui, 2012 est une année de transition et les contradictions qui traversent ce gouvernement économique mondial sont trop importantes pour espérer des décisions spectaculaires. À l’ombre des pyramides mexicaines, c’est du côté des rencontres bilatérales qu’il nous invite diriger notre regard.

POUR BÂTIR NOTRE AVENIR COMMUN, RENFORÇONS NOTRE ACTION COLLECTIVE AU SERVICE DE TOUS
1. Depuis notre dernier sommet, la reprise mondiale s’est essoufflée, notamment dans les pays développés, le chômage atteignant des niveaux inacceptables. Les tensions sur les marchés financiers se sont accentuées, essentiellement en raison des risques liés aux dettes souveraines en Europe. Des signes de vulnérabilité apparaissent sur les marchés émergents. La hausse des prix des matières premières a porté préjudice à (...)

L’économie mondiale est entrée dans une phase nouvelle et difficile. La croissance mondiale s’est affaiblie, les risques baissiers se sont considérablement accrus et la confiance s’est étiolée. L’incertitude sur la viabilité de la dette de certains pays développés s’est accrue, et le rééquilibrage de la demande du secteur public vers le secteur privé et de la demande extérieure vers la demande intérieure ne s’est pas produit.
En Europe, les risques associés à la dette souveraine dans certains pays ont (...)

1. Nous, chefs d’État et de gouvernement du G20, nous sommes réunis à Cannes les 3 et 4 novembre 2011.
2. Depuis notre dernier sommet, la reprise mondiale s’est essoufflée, notamment dans les pays développés, le chômage atteignant des niveaux inacceptables. Dans ce contexte, les tensions sur les marchés financiers se sont accentuées, essentiellement en raison des risques liés aux dettes souveraines en Europe. Par ailleurs, des signes clairs de ralentissement de la croissance apparaissent dans les (...)

L’Institut d’études de sécurité, organisme rattaché à la Haut commissaire européenne chargée de la politique étrangère, publie une étude sur le G20.
L’auteur prend à son compte la rhétorique selon laquelle le G20 permet d’associer des puissances économiques émergentes à la gestion globale du monde. Sur cette base, il pose que le G20 offre un cadre inespéré pour élaborer un nouveau multilatéralisme.
Cependant, au cours de son étude, il montre exactement l’inverse : à savoir que le G20 n’a aucunement fait (...)

1. Nous, Ministres des Finances et Gouverneurs de Banque centrale des pays du G20, nous sommes réunis aujourd’hui pour traiter des défis économiques actuels et avancer sur nos engagements. Nous avons réaffirmé que notre objectif primordial est d’améliorer les conditions de vie de nos citoyens grâce à une forte croissance économique et de l’emploi. Nous avons exprimé notre solidarité envers le peuple japonais après les tragiques événements survenus, notre disposition à apporter toute la coopération (...)
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