Réseau Voltaire

Dossiers noirs de la politique africaine de la France

Présence militaire française en Afrique : dérives...

19 articles

Dérives : A Djibouti

1er octobre 1995

Ce petit pays de 500 000 habitants, qui n’a accédé à l’indépendance qu’en 1977, reste en réalité très dépendant de la base militaire française (quelque 5 000 hommes) qui y est établie : économiquement, puisque les dépenses de cette base représentent 60 %. du PIB djiboutien ; et bien sûr (...)

Dérives : Au Togo

1er octobre 1995

(voir aussi le Dossier noir n° 2, Fiche n° 4 : L’exemple togolais)
Le sergent Eyadéma, devenu général par la grâce de deux coups d’Etat militaires largement encouragés par la France, ne cesse de tirer les enseignements de longévité politique du maréchal Mobutu. Il en a d’autant moins de (...)

Dérives : Et en quelques autres endroits...

1er octobre 1995

En Guinée équatoriale (104), les militants des partis d’opposition sont " régulièrement passés à tabac par les redoutables ninjas, sortes de "tontons macoutes" dirigés par le propre frère du général Obiang. Ces ninjas sont formés, entraînés et équipés... par la France. Ce que M. Severo Moto, (...)

Dérives : Conclusion : La coopération militaire française doit passer son conseil de révision

1er octobre 1995

Au vu des dérives de la coopération militaire franco-africaine, la question de la suppression de ce type de coopération pourrait se poser, ou au moins celle de ses outils les plus visibles comme les bases permanentes.
Mais cette question débouche vite sur une autre : la coopération militaire (...)

<
1
2
>