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Excuses publiques de Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasquié à Khalid et Abdulrahman bin Mahfouz
par
Guillaume Dasquié, Jean-Charles Brisard

Le 31 octobre 2006, Guillaume Dasquié et Jean-Charles Brisard signaient dans plusieurs grands titres de la presse européenne des pages d’excuses à la famille Bin Mafhouz pour l’avoir injustement mise en cause dans leur livre La Vérité interdite et dans le rapport Le Financement du terrorisme (cette fois ci signé par le seul J.-C. Brisard). Ces pages permettaient aux auteurs, au terme d’un protocole d’accors entre avocats, d’échapper à de lourdes condamnations pour diffamation. Le Réseau Voltaire a (...)
Faux experts et vrais mensonges
9/11 : Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasquié reconnaissent avoir inventé la piste saoudienne
La théorie selon laquelle les attentats du 11 septembre 2001 auraient été financés par les Saoudiens a fait long feu. Jean-Charles Brisard et Guillaume Dasquié, les pseudos-experts qui l’ont étayée viennent de reconnaître s’être trompés en tous points. Il reste que cette supercherie a rencontré un écho international et continue à servir de base à ceux qui prétendent que les États-Unis n’auraient pas dû attaquer l’Irak, mais l’Arabie saoudite. Le Réseau Voltaire revient sur cette incroyable mystification médiatique.

Le journaliste français Guillaume Dasquié a été arrêté par la Direction de la sécurité du territoire (DST) et son appartement perquisitionné. Il a en définitive été relâché et mis en examen pour « détention de documents classés secret-Défense » et « divulgation de fichiers ou de renseignements classés secret-Défense ».
Selon le journaliste, la procédure viserait certains de ses articles sur les attentats du 11 septembre et l’affaire Borell, ainsi que son site Internet. Sous la menace d’une détention prolongée, il (...)

La guerre entre gaullistes et atlantistes se poursuit dans l’administration française autour du « journaliste » Guillaume Dasquié. Alors que le ministre (gaulliste) de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, avait personnellement supervisé l’interpellation de M. Dasquié, le président de la République (atlantiste) Nicolas Sarkozy est venu à sa rescousse, laissant entendre qu’il avait été mis en examen pour lui faire révéler ses sources.
Dans les milieux proches de l’enquête, on souligne les derniers exploits du (...)

Le 18 novembre 2003, le département d’État états-unien organisait une Commission consultative pour la liberté religieuse à l’étranger. Les intervenants se sont efforcés de décrire le wahhabisme comme « une menace stratégique contre la sécurité des États-Unis ». Cette initiative n’est pas isolée mais s’inscrit dans une campagne visant à justifier une ingérence états-unienne en Arabie saoudite alors qu’approche la fin de l’accord entre les deux pays qui garantit à Washington le monopole des concessions pétrolières.

Comme à son habitude, l’association de droit français co-subventionnée par les services états-uniens et le gouvernement français, Reporters sans frontières, a profité du passage à Paris du président Hugo Chávez pour se livrer à une nouvelle diatribe contre la révolution bolivarienne ; comme d’habitude, l’association n’a pas hésité à asséner les plus gros mensonges pour servir la propagande de Washington et tenter de discréditer une expérience politique originale qui résiste à l’Empire états-unien.
Droits-de-l’hommisme à géométrie variable
Quand Reporters sans frontières légitime la torturepar
Salim Lamrani

S’il est un principe voltairien clair, c’est que la torture est absolument contraire aux Droits de l’homme et à l’idéal démocratique. Pourtant, il existe en France une association de défense des Droits de l’homme, Reporters sans frontières, qui légitime l’usage de la torture prétendument pour défendre la démocratie face au terrorisme. Cela n’est malheureusement pas surprenant : comme le souligne Salim Lamrani, le discours de cette organisation n’est qu’une rhétorique de façade qui masque mal son alignement sur son bailleur de fonds, la NED-CIA.

Le département d’État des États-Unis, aussitôt suivi par Reporters sans frontières, a dénoncé les atteintes à la liberté de la presse au Venezuela. Les tribunaux administratifs ont en réalité refusé de renouveller la concession hertzienne d’une chaîne de télévision qui avait participé à la tentative de coup d’État et avait multiplié les violations de son cahier des charges. Salim Lamrani analyse cette nouvelle campagne d’intoxication de « l’ONG » parisienne.
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