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9 de septiembre de 2016〈=de
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Alors que la presse européenne voit dans l’élection présidentielle états-unienne un enjeu international majeur, outre-Atlantique deux figures politiques activistes tentent de resituer le fond du problème. La Démocrate Cynthia McKinney et la Républicaine Catherine Austin Fitts nous rappellent que peu importe lequel des deux candidats siègera au bureau ovale, un fantôme hantera les lieux tant que les questions des familles des victimes du 11 septembre resteront sans réponses. Nous reproduisons l’intégralité de leur tribune parue sur 911truth.org.

Trois ans après les attentats du 11 septembre, les grands médias et l’opinion publique aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Israël adhérent à la version officielle des événements. En France, les grands médias aussi, mais pas l’opinion publique dont une large partie se montre rétive. Dans le reste de l’Europe, en Amérique latine et dans le monde musulman, le scepticisme prévaut. À titre d’exemple, en Espagne des best-sellers affirment qu’aucun avion ne s’est écrasé sur le Pentagone, tandis que le quotidien de référence El Mundo a édité une traduction de L’Effroyable imposture.
41 anciens responsables états-uniens de l’anti-terrorisme et du renseignement mettent en cause la version officielle du 11-Septembre
11-12/41 : David MacMichael et Lynne Larkinpar
Alan Miller

Le 14 septembre 2004, un groupe de 25 anciens des services de renseignements militaires et du maintien de l’ordre ont envoyé une lettre commune au Congrès pour exprimer leurs préoccupations au sujet de « graves carences », d’« omissions » et de « défauts majeurs » dans le Rapport de la Commission du 11/9 et pour offrir leurs services pour une nouvelle enquête. Il semble que leur lettre ait été totalement ignorée. Parmi les signataires se trouvaient 4 vétérans de la CIA : Raymond McGovern et Melvin Goodman (...)
41 anciens responsables états-uniens de l’anti-terrorisme et du renseignement mettent en cause la version officielle du 11-Septembre
2/41 : Angelo Codevillapar
Alan Miller

Angelo Codevilla, PhD - Ancien officier du service Étranger au département d’État, spécialisé dans les opérations de renseignement en l’Europe de l’Ouest. Membre de l’équipe de transition du Département d’État lors de l’élection du Président Ronald Reagan et principal auteur du rapport de ce groupe sur le renseignement. Ancien membre du personnel du Comité du renseignement du Sénat des États-Unis chargé de la surveillance des services de renseignement de 1977 à 1985. Ancien officier de la Marine. Actuellement, (...)
La raison l’emporte sur la propagande
La majorité des États-Uniens souhaite une enquête sur le rôle de MM. Bush et Cheney dans les attentats du 11/9
Six ans après les attentats du 11 septembre 2001, la polémique ouverte sur notre site par Thierry Meyssan n’est pas close. Malgré une campagne visant à déformer et à dénigrer ses travaux, et malgré la répression aux États-Unis, il est parvenu à mobiliser des relais d’opinion et à sensibiliser la population. Désormais la majorité des États-Uniens s’interroge sur la responsabilité de MM. Bush et Cheney dans ces attentats et souhaite une enquête parlementaire sur leurs agissements. La presse atlantiste dira-t-elle que les États-uniens sont devenus « anti-Américains » ?
Forte proportion de passagers liés à l’armée dans le vol 77 qui aurait percuté le Pentagone
par
Pino Cabras

Nombreuses sont les incohérences concernant le Vol 77 d’American Airlines qui a prétendument percuté le Pentagone à 9h37 le 11 septembre 2001, nous ne les enumèrerons pas ici, d’autres articles de ce site en donnent une liste détaillée. Mais de nouveaux éléments sont apparus récemment, fruit d’investigations effectuées par des journalistes indépendants. Nous vous livrons ici un extrait du livre Strategie per una guerra mondiale de Pino Cabras. Il y relève l’étrange proportion de passagers travaillant pour le secteur militaire dans le Vol 77, et qui officiellement auraient trouvé la mort le 11-Septembre au Pentagone.
41 anciens responsables états-uniens de l’anti-terrorisme et du renseignement mettent en cause la version officielle du 11-Septembre
7/41 : William Christisonpar
Alan Miller

William Christison, employé pendant 29 années par la CIA, ancien officier des renseignements nationaux (HIO) et ancien directeur à la CIA du Bureau des analyses régionales et politiques, décrit le Rapport de la Commission sur le 11/9 comme une « blague » et présente une critique encore plus directe. Lors d’une interview pour « Electric Politics » de George Kenny diffusée sur l’Internet, Christison a dit : « Nous avons vraiment besoin d’une enquête complètement nouvelle de très haut niveau et (...)
Le régime Bush
Les trois versions officielles des détournements d’avion du 11 Septembrepar
David Ray Griffin

Quatre ans après les attentats qui endeuillèrent les États-Unis, la polémique ouverte dans nos colonnes est plus que jamais d’actualité. Le rapport définitif enfin rédigé et rendu public par la Commission présidentielle Kean-Zelikow, loin de répondre aux questions que se posait le public, n’a fait qu’ajouter à la confusion. Il n’y a plus une version officielle des événements, mais un grand nombre de documents officiels contradictoires et incompatibles. Dans le monde entier, l’opinion publique exprime ses doutes, y compris aux États-Unis, où selon un sondage Zogby, plus de la moitié des New-yorkais ne croient plus ce que les autorités leur disent à propos de ces attentats. Dans un ouvrage magistral, le professeur David Ray Griffin passe au crible le travail de cette commission. Nous en reproduisons un extrait consacré aux prétendues tentatives d’interception des prétendus avions (...)
11-Septembre
Éric Raynaud : « aux États-Unis, plus aucun expert ne prend le risque de défendre un point précis de la version gouvernementale »par
Thierry Meyssan

Huit ans après les attentats du 11-Septembre, le journaliste Éric Raynaud publie un livre sur l’état de la contestation de la version gouvernementale aux États-Unis. Si les autorités s’accrochent à leur version des événements, plus aucun expert ne se risque à la soutenir dans ses détails. Les médias francophones, qui se sont bouchés les yeux et les oreilles durant tout ce temps, lui font bon accueil. Son approche dépolitisée permet en effet de rétablir un consensus dans la société et de combler le gouffre qui s’est creusé entre la presse et le public.
Les Forces spéciales clandestines
Une dissidence terroriste au cœur de l’appareil militaire atlantiste
George W. Bush a ratifié la création d’une commission d’enquête nationale sur les attentats du 11 septembre. Cette décision vise à rassurer les familles des victimes, de plus en plus sceptiques sur la version officielle. Contre leur avis, George W. Bush a désigné Henry Kissinger pour présider ces investigations. La responsabilité personnelle de l’ancien secrétaire d’État dans la planification des attentats avait pourtant été évoquée dans nos colonnes dès le 19 septembre 2001, puis par de nombreux médias dans le monde.

En remettant en cause le fonctionnement autoritaire de l’Administration Bush et en souhaitant plus de transparence dans l’exercice du pouvoir, l’Administration Obama a ouvert une boîte de Pandore. De nombreux documents jusqu’ici secrets sont déclassifiés. Parmi eux, des notes internes de la Commission d’enquête sur le 11-Septembre. Celle que nous publions aujourd’hui atteste que des pressions ont été exercées sur les fonctionnaires et militaires ayant comparu devant la commission afin qu’ils ne répondent pas aux questions relatives au rôle et à la réaction de l’Administration face aux attentats.
Washington D. C. (États-Unis) | 27 février 2005
Le journaliste de CNN spécialisé dans les questions militaires Jamie McIntyre, qui possède un bureau au Pentagone et se trouvait sur place le matin du 11 septembre 2001, rapporte face à la caméra ses premières impressions après une inspection visuelle méticuleuse du lieu de l’impact. Voici la séquence vidéo de son témoignage à chaud, sa transcription et la traduction française de cette transcription.
Le journaliste de CNN spécialisé dans les questions militaires Jamie McIntyre, qui possède un bureau au Pentagone et se trouvait sur place le matin du 11 septembre 2001, rapporte face à la caméra ses premières impressions après une inspection visuelle méticuleuse du lieu de l’impact. Voici la séquence vidéo de son témoignage à chaud, sa transcription et la traduction française de cette transcription.

La théorie selon laquelle la destruction du World Trade Center à New York et la fabrication de fausses cartes à puce dans une banlieue française participent du plan conduit par une seule et unique organisation terroriste mondiale trouve sa confirmation dans les aveux des « repentis d’Al Qaïda ». Mais à y regarder de plus près, ces repentis sont rares et leurs témoignages sont douteux, voire pas crédibles du tout. Bien qu’à ce jour aucun tribunal n’ait admis les prétendus liens entre des attentats commis en Europe et Al Qaïda, dont pourtant ces repentis témoignent, experts et journalistes persistent à échafauder des hypothèses et à préconiser des politiques sur la foi de ces dépositions.

Pour Thierry Meyssan, les Relations internationales sont exclues aujourd’hui en France du débat démocratique —c’est la doctrine du « domaine réservé du président de la République »—. Par conséquent toute analyse qui ne s’inscrit pas dans la lignée du discours officiel sera qualifiée de « conspirationniste ». Or, c’est précisément le rôle de vrais journalistes, non pas de relayer la communication présidentielle, ni même de la décrypter, mais de chercher les faits et de les analyser.

La presse et les chancelleries occidentales se sont indignées du suicide en prison d’Orlando Zapata Tamayo, présenté comme une victime la « dictature cubaine ». Or, ce drame humain n’a pas le sens qu’on lui attribue : Zapata n’a jamais eu d’activité politique.
Une fois de plus, observe Salim Lamrani, la propagande déforme des faits et les instrumente pour justifier a posteriori l’hostilité de Washington vis-à-vis de Cuba.
« Comment les républicains et les démocrates ont mené leur travail dans la commission sur le 11 septembre »
par
Lee H. Hamilton, Thomas H. Kean
Les États-uniens vont-ils reconquérir leur liberté ?
Trump : le 11-Septembre, ça suffit !par
Thierry Meyssan

Donald Trump a refusé d’endosser les habits présidentiels de ses prédécesseurs et a consacré son discours d’investiture à brocarder le Système et à annoncer un changement de paradigme. Il a constitué son équipe de Sécurité autour de deux thèmes : l’éradication de Daesh et l’opposition au 11-Septembre ; deux caractéristiques qui visent à mettre un terme au processus de globalisation.
Le 911 European Tour
Du 11 septembre aux ADM irakiennes, le mensonge est une politiquepar
Thierry Meyssan

À l’initiative du millionaire Jimmy Walter, une série de conférences sur le 11 septembre a été organisée dans les principales capitales européennes. Des journalistes et écrivains états-uniens y ont démontré la responsabilité de l’administration Bush dans l’organisation de ces attentats et l’installation d’un régime d’exception. Ils ont appelé les gouvernements européens à ouvrir une enquête internationale. Nous reproduisons l’intervention de Thierry Meyssan à Londres.
L’ancien numéro 2 du KGB parle
Leonide Chebarchine : « La prochaine cible des États-Unis sera l’Iran »par
Bakhtiar Akhmedkhanov

Depuis trois ans et demi, la Russie reprend à son compte la rhétorique états-unienne de la « guerre au terrorisme international » et s’abstient de tout commentaire sur les attentats du 11 septembre 2001. Rompant avec cette posture, l’ancien n°2 du KGB, Leonide Chebarchine, affirme que le « terrorisme international » n’a aucune réalité et qu’Oussama Ben Laden est encore aujourd’hui un agent de la CIA. Dans un entretien exclusif à RIA Novosti, diffusé hors de Russie par le Réseau Voltaire, il analyse les mobiles pétroliers du bellicisme de Washington et montre que la stratégie du Pentagone conduit inexorablement à faire la guerre en Afghanistan hier, en Irak aujourd’hui et en Iran demain.
Déontologie journalistique
Les étranges propos d’un « spécialiste » du terrorisme de l’AFP...par
Arno Mansouri

Visionnaire ou organisateur ? À plusieurs reprises, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld avait annoncé les événements du 11 septembre 2001. Deux minutes avant le premier crash à New York, il prévenait ses visiteurs de l’imminence d’attentats. Juste après l’attaque sur le World Trade Center, il annonçait la prochaine cible : le Pentagone.

Que penseriez-vous si la police, après une explosion suspecte qui aurait fait écrouler une maison en tuant les gens qui y habitaient, avant toute chose enlevait et détruisait tout ce qui reste ? C’est ce qu’ont fait, il y a dix ans, les autorités étasuniennes : elles ordonnèrent d’enlever immédiatement les structures en acier des tours écroulées le 11 septembre à New York.
Aucun doute, dans la version officielle, que la cause ne fût l’incendie provoqué par l’impact des avions détournés par les (...)

Un an et demi après la publication de L’Effroyable imposture, le doute sur les attentats du 11 septembre 2001 atteint les États-Unis. 49 % des New-Yorkais pensent que l’administration Bush était informée à l’avance, mais a délibérément laissé commettre les attentats. 100 personnalités états-uniennes de tous horizons, dont les candidats libertarien et écologiste à l’élection présidentielle, récusent le récent rapport de la Commission présidentielle et demandent la réouverture de l’enquête. 40 membres de familles de victimes déposeront demain une plainte pénale devant le procureur général de New York de manière à ce que les citoyens puissent prendre le contrôle d’une enquête jusqu’ici verrouillée par l’administration Bush.
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Les États-uniens, prisonniers de leurs mensonges