Alors que la presse anglo-saxonne, trop occupée par sa campagne anti-Russes, oublie les Syriens, la presse française, elle, poursuit son action pour un changement de régime. Cependant, pour la première fois, un reportage publié dans un hebdomadaire branché atteste des crimes des groupes armés.
Organe officieux de l’atlantisme, « Le Monde » s’érige en porte-parole de l’Alliance et appelle en « une » à la création d’un groupe de contact, c’est-à-dire à la formation d’une coalition militaire ad hoc. Pourtant, après le refus allemand d’une aventure militaire et la reculade de la Ligue arabe, Paris, qui s’imaginait en leader, est isolé.
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