La livraison d’Identité (n° 7) " Repenser l’écologie " comprend notamment un article intitulé " L’écologisme contre l’écologie ", signé par Bruno Mégret. Il s’agit en fait de la transcription reformulée de l’intervention de Jean-Claude Bardet au VIIIe congrès du FN à Nice, le 31 mars 1990. Nous en reproduisons des passages significatifs.

" La promotion d’une véritable écologie passe obligatoirement par le respect des règles qui gouvernent l’espèce humaine. Au premier rang de celles-ci : l’identité, enjeu politique capital, dont la défense est assurée par le courant national. "

" On ne peut en réalité séparer l’homme de la nature. L’un et l’autre forment un tout. L’écologie véritable doit donc tenir compte des lois qui gouvernent l’espèce humaine. [...] Ainsi une écologie globale, une écologie réfléchie, doit prendre en compte les instincts élémentaires de la nature humaine [...] L’instinct d’agressivité, par exemple, régit les comportements des espèces. [...] De la même façon, il est possible de constater que la plupart des animaux sont dotés, tout comme l’homme, d’un profond instinct territorial. [...] De même, il faudrait noter que, parmi les quatre fonctions essentielles élaborées au cours de la phylogenèse des espèces vivantes, il en est une qui a pour effet d’empêcher les mélanges entre deux espèces ou quasi-espèces, soit entre deux cultures ou subcultures. "

" L’écologie, c’est avant tout la fidélité aux lois de la nature, c’est-à-dire la prise en compte du refus des mélanges et des pertes d’identité, le respect des territoires, une fidélité acceptant les conflits comme des données naturelles et reconnaissant l’existence des liens ineffables qui unissent nature et culture, l’homme étant par nature un être de culture. "

" Or, parmi toutes les espèces, il en est une à laquelle nous sommes tout particulièrement attachés par les liens du sang et de la mémoire : c’est le peuple français. "