Lors d’un débat parlementaire sur la guerre du Kosovo, le Premier ministre grec, Kostas Simitis, s’est félicité que la Grèce ait été le premier État à s’opposer aux bombardements et que, loin de se trouver aujourd’hui isolée, elle se trouve rejointe par de nombreuses autres puissances. Plus tard, le ministre adjoint des Affaires étrangères, Yiannos Kranidiotis, a indiqué que le sommet européen de Cologne (3 et 4 juin) serait l’occasion de reposer complètement la question de la guerre et de dégager des issues diplomatiques respectueuses de l’intégrité des frontières et de la souveraineté des États. (D’après Athens News Agency.)