Moyens : Dick Cheney et le Secret Service


Cheney était le Commandant en chef le 11 septembre et tirait les ficelles via le Secret Service

  Le Secret Service a légalement le pouvoir de prendre le contrôle total de toutes les agences des États-Unis en cas d’urgence nationale sur le sol états-unien. Même l’U.S. Air Force reconnaît la suprématie du Secret Service.
  Le Secret Service possède le système de communication le plus technologiquement avancé parmi toutes les agences aux États-Unis, comme il se doit.
  Le 11 septembre 2001, le Secret Service possédait la technologie pour voir les écrans de la FAA (ndt. Federal Aviation Association, les écrans de contrôle aérien civil).
  Le Secret Service était dans le cercle de décisions dès 8H15 le 11 septembre, et pas plus tard que 8H45.
  Tout était en place, le 11 septembre 2001, pour que le Commandeur en chef ait le contrôle total et suprême sur l’U.S. Air Force via les systèmes de communication du Secret Service, ainsi que le mandat légal pour prendre le commandement suprême.
  Néanmoins, Bush lisait des histoires de chèvres à l’école élémentaire Booker. Le Secret Service était à ses côtés, et a choisi de le faire rester là pendant que le scénario du 11 septembre se déroulait. L’équipe du Secret Service entourant Bush était en communication complète avec les agents du Secret Service situés dans le PEOC (Centre opérationnel présidentiel d’urgence) pendant que le scénario du 11 septembre se déroulait.
  Dick Cheney était le Commandant en chef de facto le 11 septembre et le Secret Service avait le commandement suprême.

Mobile : Le pic de la production mondiale de pétrole


Le monde est sur le point de commencer à manquer de pétrole

  La moitié du pétrole mondial est épuisé, ou est sur le point d’être épuisé.
  Une fois ce point médian franchi, chaque baril de pétrole sera plus difficile à trouver et plus cher à mesure que la demande croîtra. Contrôler les dernières réserves de pétrole disponibles est donc la clé pour contrôler le monde.
  Presque tout ce que nous connaissons dans la société moderne ; les véhicules, les bâtiments, les ponts, les armes, les produits de grande consommation et bien d’autres choses consomment du pétrole lors de leur fabrication, de leur fonctionnement, ou les deux.
  L’énergie des hydrocarbures à bon marché et abondante garde le monde industriel au chaud et prépare notre nourriture. La plupart des habitations sont chauffées au gaz naturel.
  Nous « mangeons » du pétrole et du gaz naturel : Pour chaque calorie d’énergie de nourriture produite, 10 calories d’énergie hydrocarbonée sont consommées.
  Quatre jours après être devenu vice-président, Dick Cheney a réuni son National Energy Policy Development Group (NEPDG) par lequel il a reçu une grande quantité d’informations sur le pic de la production mondiale de pétrole provenant d’experts reconnus internationalement. Il a refusé de communiquer les documents de ces audiences au Congrès ou au peuple états-unien. FTW a toujours soutenu que les secrets les plus reclus et sombres du 11 septembre 2001 sont renfermés dans ces documents.
  Dick Cheney était informé au sujet du pic de la production mondiale de pétrole au moins dès 1999. Il connaît l’impact économique de la déplétion du pétrole et les effets catastrophiques que cela va engendrer.
  Le 11 septembre a rendu possible ce que Dick Cheney a qualifié de « Guerre qui ne prendra pas fin de notre vivant ». Il s’agit d’une guerre à la poursuite des dernières ressources en hydrocarbures partout dans le monde. La « Guerre au terrorisme » est en réalité une guerre pour l’énergie et le 11 septembre était le prétexte pour son déclenchement.

Occasion : les simulations d’attaques du 11 septembre


Cheney supervisait de multiples simulations d’attaques et exercices antiterroristes qui ont paralysé la réaction de l’U.S. Air Force le 11 septembre.

  En mai 2001 la responsabilité directe pour superviser l’ « intégration complète » de tous les exercices d’entraînement du gouvernement fédéral et des agences militaires a été confiée à Dick Cheney par mandat présidentiel.
  La matinée du 11 septembre 2001 a commencé par plusieurs exercices de simulation de situation de guerre que Dick Cheney, selon son mandat présidentiel, avait la responsabilité de superviser.
  Les simulations de guerre et exercices d’alertes terroristes incluaient des exercices en conditions réelles avec des avions militaires jouant le rôle d’avions civils détournés au-dessus des États-Unis, ainsi que des exercices de simulation qui consistaient à placer des « faux blips » (signaux radar indiquant des avions qui sont en réalité virtuels) sur les écrans de contrôle aérien de la FAA. L’un des exercices, appelé Northern Vigilance, a mobilisé des chasseurs de l’Air Force au Nord jusqu’au Canada lors d’une simulation d’attaque aérienne russe, de sorte que très peu de chasseurs demeuraient sur la côte Est pour réagir. Tout cela a paralysé la réaction de l’Air Force, de manière à ce que les pilotes de chasseurs ne puissent pas arrêter les événements du 11 septembre.
  Un individu inconnu ou centre de commandement désigné sous le nom de « maestro » par le Major Don Arias du NORAD a coordonné les exercices de simulation. Il est possible qu’il y ait eu plus qu’un maestro, mais personne n’est disposé à donner de noms. FTW a posé la question à toutes les personnes occupant un poste gouvernemental ou militaire et en mesure d’y répondre, mais en vain. Notre enquête a révélé que le maestro était soit Dick Cheney, le général Ralph « Ed » Eberhart ou les deux.
  La personne qui coordonnait les exercices de l’Air Force était sous la supervision et la direction de Dick Cheney, qui était également responsable d’une simulation d’attaque terroriste organisée sur la rive ouest de Manhattan le 11 septembre et appelée Tripod 2. Cette simulation impliquait la mise en place, le 11 septembre, d’un centre de contrôle et de commandement configuré exactement comme celui détruit ce matin-là avec le bâtiment 7 du World Trade Center. Pratique, n’est-ce pas ?
  Dick Cheney était l’un des principaux responsables gouvernementaux ayant décidé que des simulations d’une telle envergure auraient lieu le 11 septembre. Ceci alors que les services de renseignement états-uniens avaient reçu des douzaines d’avertissements en provenance de gouvernements et d’agences de renseignement indiquant que des terroristes projetaient de détourner des avions civils et de les faire s’écraser sur des cibles états-uniennes au sol durant la semaine du 9 septembre 2001.

Ancien enquêteur de la police de Los Angeles, Michael C. Ruppert est devenu rédacteur en chef de From the Wilderness. Son ouvrage Crossing the Rubicon constitue une somme critique, réunissant notamment l’ensemble des indices et témoignages connus à propos des attentats du 11 septembre 2001.