Selon les termes politiquement corrects, un jour Jérusalem sera divisée entre deux États et sera la capitale de deux nations vivant côte à côte en paix. Ce n’est cependant qu’un rêve qu’on essaye d’imposer aux citoyens d’Israël alors que les Palestiniens en demandent toujours plus sans rien donner en retour.
Ainsi, le mufti de Jérusalem, appointé par Arafat, se fondant sur une décision de la SDN datant de 70 ans, estimait que le mur des lamentations était la propriété des Arabes. En 1997, Hassan Tahboob, le ministre des Affaires religieuses de l’Autorité palestinienne expliquait que dans le cas de figure où les Palestiniens auraient le contrôle du mur, les juifs pourraient venir y prier, mais ne pourraient plus s’en approcher à moins de deux mètres ou glisser des prières dans les infractuosités du mur.
Les maîtres de l’apaisement en Occident ne tiennent manifestement pas compte du fait que le contrôle exclusif des musulmans sur la vieille ville, le mont du temple et le mur des lamentations est une ablation de l’âme et du cœur de l’anatomie du judaïsme. Il n’y a rien d’incorrect ou d’impérialiste pour le peuple juif de réclamer son héritage, fruit d’une histoire bien plus ancienne que ne l’est l’islam.
La constitution de l’Autorité palestinienne reconnaît l’islam comme seule religion d’État, la sharia comme source du droit, Jérusalem comme capitale, la citoyenneté palestinienne à tous les Arabes vivant sur le territoire avant 1948 et à leur descendants et le droit au retour. Si ce programme est appliqué, les juifs et les chrétiens n’auront plus accès aux lieux saints.
« A Christian’s lament », par Elwood McQuaid, Jerusalem Post, 13 janvier 2004.
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