Le porte-parole du ministère russe de la Défense, le général Igor Konashenkov, a fait savoir que son pays détruirait le centre de commandement des opérations de sabotage de Kiev si celle-ci se poursuivaient en Russie.

Depuis le début du conflit, les armées russes n’ont jamais menacé Kiev qui ne figurait pas parmi leurs cibles. Au contraire, la propagande atlantiste, occultant les déclarations du président Poutine, annonçait l’imminence de la bataille de Kiev jusqu’au retrait russe de l’Ouest et du Nord du pays.

La déclaration de Moscou atteste la gravité des sabotages de l’Otan en Russie.