L’informateur " Jean-Pierre ", auteur d’informations essentielles en ce qui concerne la menace contre les Belges et la préparation du génocide, avait demandé asile et protection pour lui et pour sa famille en garantie d’informations qu’il s’engageait à continuer à donner.

La commission constate que ni les ambassades occidentales ni les Nations unies n’ont accepté d’accorder cette protection.

La commission ne comprend pas la manière dont la communauté internationale, en l’occurrence les Nations unies, les USA, la France et la Belgique, a traité le problème de cette source d’informations, qui allaient par la suite être confirmées par les faits.


Source : Sénat de Belgique