Né le 11 août 1940 à Montigny-lès-Cormeilles, saint-cyrien. Officier de renseignement, il fut en poste au Zaïre (1979-81) et au Liban (1984), colonel commandant le 1er RPIMa (1984-86). Très lié au général Quesnot, il fut son adjoint à l’état-major particulier du président Mitterrand (1989-93), puis chef de la mission militaire de coopération au ministère de la Coopération (1993-95). En 1995, il est nommé chef adjoint de la Force d’action rapide en ex-Yougoslavie, laissant ses fonctions à la mission de coopération à l’autre protégé du général Quesnot, le général Michel Rigot. À l’état-major du président de la République et au ministère de la Défense, il défendit l’approche classique des troupes de Marine (RPIMa) favorable à une instrumentalisation de l’ethnisme au service des intérêts français. Le général Huchon avait en charge le dossier rwandais, c’est pourquoi il s’est exprimé à huis clos devant la mission d’information, tandis que ses supérieurs, le général Quesnot et l’amiral Lanxade furent auditionnés en public. Du 9 au 13 mai 1994, en plein génocide, il reçut le lieutenant colonel Rwabalinda et l’assura d’un soutien diplomatique et matériel, (rapport de Ephrem Rwabalinda à ses supérieurs produit dans le 1er Dossier noir Rwanda : la France choisit le camp du génocide, Agir ici et Survie, L’Harmattan, 1994, ainsi que dans Rwanda, un génocide français, Mehdi Ba, éd. L’Esprit frappeur, 1997).
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