Gérard Prunier consacre un chapitre de Rwanda, le génocide (éd. Dagorno, 1997) au " marathon pour la paix d’Arusha ".

À partir des auditions de la mission d’information, Michel Sitbon montre que les responsables français ne croyaient absolument pas dans les accords d’Arusha (Un génocide sur la conscience, pp. 97-115).