Deux humanitaires témoignent de l’impuissance et de l’utilisation des ONG dans le génocide : Rony Brauman, ancien président de Médecins sans frontières, Devant le mal, Rwanda, une tragédie en direct (Arléa, 1994) et Annie Faure, Blessures d’humanitaire (Balland, 1995).

Une virulente polémique a opposé d’un côté la revue Golias à Reporters sans frontières et African Rights à Amnesty international.

Jean-Paul Gouteux propose une synthèse très utile des liens existants entre Amnesty, RSF et certains idéologues ethnistes hutus (Un génocide secret d’État, la France et le Rwanda, 1990-1997, Éditions sociales, 1998, pp.123-136).