L’OTAN a demandé à la Grèce de laisser 10 000 hommes transiter par l’aéroport de Thessalonique en direction de la Macédoine. Le Premier ministre Kostas Simitis, qui avait dans un premier temps exclu cette possibilité, fait aujourd’hui valoir à son opinion publique que si la Grèce refuse son assistance à l’opération de l’OTAN, la Turquie en profitera pour développer son influence.