Le 4 mai, le porte-parole de l’OTAN, Jamie Shea, a affirmé que les Serbes avaient presque terminé la déportation des 180 000 habitants de Prirzen et conservaient sur place des hommes comme travailleurs forcés. Ils seraient contraints de construire une sorte de " ligne Maginot " autour de la ville. (D’après OTAN.)