Selon " Le Monde " et Reuters, les négociateurs russes auraient indiqué à l’OTAN que le président Milosevic serait prêt à accepter les cinq exigences de l’ultimatum, sous quatre conditions : (1) respect de l’intégrité territoriale de la RFY ; (2) garantie qu’une administration provisoire du Kosovo ne débouchera pas sur l’indépendance ; (3) pas d’ingérence dans la politique intérieure de la RFY ; (4) immunité des dirigeants serbes face aux tribunaux de l’ONU.

Le ministre russe des Affaires étrangères a démenti ces allégations. (D’après AP.)