Un rapport des services de renseignements turcs relate une réunion des dirigeants du PKK, du Hezbollah, du Hamas et du Jihad islamique, sous la présidence d’Ali Fallahiyan, chef des services secrets iraniens. Ce rapport indique que l’Iran finance ces organisations par des trafics de drogues. L’Iran fournirait au PKK une formation, des camps, des caches, des armes et munitions, et divers moyens logistiques. L’Iran aurait décidé de soutenir le fondamentalisme en Turquie après le démantèlement partiel du PKK. (D’après Cumhuriyet.)
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