Selon l’éditorialiste du WP, le président Clinton aurait apprit l’assentiment russe au plan de paix alors qu’il présidait un conseil de guerre. Devant la mine satisfaite de ses conseillers et généraux, il leur aurait dit de ne pas se réjouir si vite. En effet, l’accord de Boris Eltsine a été marchandé au prix fort. Menacé dans son pays par les enquêtes anti-corruption, il compte désormais sur son allié US pour se maintenir au pouvoir et soutenir son dauphin, Sergei Stepashin.

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