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La présente lettre fait suite à mes lettres des 1er, 6, 13 et 26 août, 16 septembre, 31 octobre et 12 décembre 2019 et des 9 mars, 10 avril, 21 mai, 1er août et 18 septembre 2020 concernant les événements extrêmement inquiétants survenus dans le Jammu-et-Cachemire illégalement occupé par l’Inde, qui se sont soldés par des violations graves et systématiques des droits humains, par des modifications démographiques illégales, opérées en violation des résolutions du Conseil de sécurité, de la Charte des (...)

Dans les années 1920, les Britanniques modelèrent l’islam et l’hindouisme à leur image. Ils créèrent les Frères musulmans autour d’Hassan el-Banna en Égypte et le RSS autour de V. D. Savarkar en Inde. Ces deux doctrine politiques instrumentent les religions et prêchent l’intolérance. Lorsqu’ils décolonisèrent le sous-continent indien, les Britanniques veillèrent à rester indispensables en le divisant d’une manière ingérable. Aujourd’hui, le Cachemire est artificiellement partagé entre le Pakistan et l’Inde qui le revendiquent tous deux en totalité. Poursuivant l’œuvre de Savarkar, le Premier ministre Narendra Modi a décidé d’appliquer le concept d’indouïté (Hindutva) et de transformer la vie des musulmans en un enfer. L’ambassadeur Moin ul-Haque expose cette tactique.

Je vous écris dans le prolongement de mes lettres datées des 1er, 6, 13 et 26 août, 16 septembre, 31 octobre et 12 décembre 2019 et des 9 mars et 10 avril 2020 concernant la grave situation qui sévit dans le Jammu-et-Cachemire occupé par l’Inde, marquée par des violations flagrantes et systématiques des droits humains et une aggravation de la menace pesant sur la paix et la sécurité.
Comme signalé par mon gouvernement à plusieurs reprises, les dirigeants actuels de l’Inde font tout pour perpétuer (...)

Le Premier ministre indien, Narendra Modi, a théâtralement présenté, lors d’un discours télévisé, le 27 mars 2019 (c’est-à-dire en pleine campagne électorale), les résultats positifs du test de la Defense Research and Development Organization (DRDO) : Mission Shakti (Force).
Un missile indien est parvenu à détruire un de ses propres satellites (le Microsat-R, d’un poids de 740 kg), à 280 kilomètres d’altitude.
En 2007, la Chine fut la première puissance à détruire un de ses satellites (le Fengyun 1C) à (...)
Le système de défense de l’espace aérien indien présente des lacunes troublantes
par
Valentin Vasilescu

Valentin Vasilescu met en lumière les erreurs tactiques de l’aviation indienne lors de l’incident de Balakot. Les experts de Great Game India avaient déjà montré que les cibles du Jaish-e-Mohammed n’ont pas été atteintes, contrairement aux déclarations indiennes. Tout cela donne une impression d’amateurisme et renvoie à la visite secrète de Benjamin Netanyahu, le 25 octobre au Pakistan.
Les États-Unis ne peuvent ignorer ce qui s’est passé lors des combats aériens indo-pakistanais
par
Valentin Vasilescu

New Delhi accuse Washington de ne pas avoir bloqué les F-16 pakistanais qui ont détruit son Mig21 lors de l’incident de Balakot, en arguant qu’ils n’ont pas été utilisés à des fins anti-terroristes comme prévu par le contrat de vente, mais contre lui. Valentin Vasilescu observe que ce débat intervient au moment où l’armée indienne s’apprête à renouveler ses avions. Plutôt que d’acheter des MiG, elle hésite entre des F-16 états-uniens et des Gripen suédois… et pourrait se trouver dans la situation où elle tente d’enfermer les Pakistanais.

Le 14 février dernier, une attaque terroriste a fauché 40 membres des forces de police indiennes à Pulwama. Elle a été revendiquée par Jaish e-Mohammed, le groupe jihadiste qui avait attaqué le Parlement indien en 2001 et tenté d’assassiner le président pakistanais en 2003. En représailles, l’Inde a bombardé ce qu’elle considère être le siège de cette organisation au Pakistan. JeM est activé lorsque les relations Inde-Pakistan s’améliorent. Pour Great Game India, ce bombardement par l’Inde semble être une fausse opération sans victime, ce que semble confirmer la libération par le Pakistan du pilote d’un avion indien abattu.

Dans le sous-continent indien, Israël se refuse à prendre parti et n’hésite pas à faire des affaires avec des entités opposées entre elles.
Ainsi, en 2009, Tsahal était à la fois le formateur de l’armée du Sri Lanka et des Tigres tamouls. Cependant, ce fut en définitive Colombo qu’il conseilla contre les Tigres lors du massacre de Puttumatalan (probablement 20 000 morts).
Il semble que la lune de miel du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avec son homologue indien Narendra Modi n’a pas (...)

L’avenir du e-commerce indien semblait être dédié à la compétition entre deux opérateurs états-uniens, Amazon et Walmart. Le premier a acheté, en mai 2018, la société indienne qui était la mieux implantée sur le marché, Flipkart, pour 16 milliards de dollars. Le second a investi plus de 5 milliards de dollars, dont 580 millions en septembre pour l’achat de More, une des principales chaines de supermarchés indiens.
Walmart est le géant de distribution aux États-Unis avec 4 600 magasins et plus 2 millions (...)

Comparant l’état de la Chine populaire, de Cuba et de l’Inde, en s’appuyant sur les travaux de Jean Drèze et d’Amartya Sen, Bruno Guigue montre les progrès sociaux de régimes étatiques par rapport aux retards d’un régime « libéral » (au sens des Chicago Boys). Il n’évoque pas la question des investissements financiers et de l’alliance prônée par Deng Xiaoping entre le Parti communiste et les transnationales et préfère se concentre sur celle des Biens communs. Si certains régimes étatiques ont échoués, d’autres ont réussi. Et ils l’ont fait mieux que s’ils avaient suivi les recettes « libérales ».

Le gouvernement de Narendra Modi a indiqué que l’Inde ne participera pas au projet du Quadrilateral Security Dialogue (QSD), dit « Quads ».
Celui-ci avait été imaginé par l’administration Bush Jr. Il s’agissait d’allier le Japon, l’Australie et l’Inde pour contrer l’influence chinoise dans le Pacifique. Il avait échoué en 2010, juste après l’annonce par le président Xi du projet de « route de la soie ». À l’époque l’Australie avait jugé plus prudent de coopérer avec Beijing. Les « Quads » avaient ressurgis (...)

L’Inde a signé le mois dernier un contrat avec les Seychelles afin d’installer une base militaire dans le cadre de son initiative Sécurité et développement pour tous dans la région (Security and Growth for All in the Region — SAGAR).
Le gouvernement de Narendra Modi entend déployer son armée dans l’Océan indien après que la Chine ait installé deux bases militaires à Djibouti et au Sri Lanka (Hambantota) et en négocie une troisième avec les (...)

Que peuvent bien avoir en commun : l’AfD (Alternative pour l’Allemagne), Rodrigo Duterte, Mauricio Macri, Narendra Modi, Barack Obama, le Parti national écossais et Donald Trump ? Ils ont tous basé leur campagne électorale sur les conseils avisés de Mark Zuckerberg. En s’appuyant sur le cas des élections en Inde, Shelley Kasli révèle la manière dont Facebook manipule les processus démocratiques.

L’approvisionnement en blé de l’Afghanistan, traditionnellement opéré par la Chine via le Pakistan, est compromis par le transit des marchandises indiennes via l’Iran.
L’accord signé en mai dernier à Téhéran entre l’Inde, l’Iran et l’Afghanistan vient d’entrer en application. Il prévoit 500 millions de dollars de livraison de céréales par an. Il atteste du soutien des États-Unis au président Rohani et à leur lutte commune contre la Chine, partenaire millénaire de (...)

Des documents Top Secret récemment publiés, provenant des Archives d’Edward Snowden, révèlent comment l’Agence de sécurité nationale des États-Unis (NSA) a espionné les systèmes de missiles balistiques et les armes nucléaires de l’Inde en utilisant son programme d’interception Rainfall via ses bases en Australie et en Thaïlande. Ces documents renforcent les questions sur la mort prétendument accidentelle du père du nucléaire indien, Homi J. Bhabha, et sur celles de 11 scientifiques durant le premier mandat Obama.

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