Dans les Philippines, sur la péninsule de Bataan, l’armée japonaise se heurte à une forte résistance qui freine ses opérations. En retard de deux mois sur le calendrier prévu, le général commandant Masaru Homma est accusé d’incompétence . Finalement, l’armée US se rend, le 10 avril 1942, le général McArthur prenant la fuite en prononçant sa célèbre phrase « je reviendrais ». Homma se retrouve avec un problème logistique qui risque de le ralentir encore : il doit gérer plus de 70.000 prisonniers, pour la plupart malades et blessés, alors que les stratèges japonais n’en avaient prévu que 15.000. L’état-major intime l’ordre à Homma de se débrouiller et d’appliquer une « sélection naturelle » parmi les prisonniers. Il est donc décidé de les transférer à pied, sans boire ni manger, vers un camp situé 100 km plus loin. 15.000 prisonniers n’atteindront pas le camp et 20.000 autres y mourront après leur arrivée, le 24 avril. Plus de 1.000 civils filipinos seront exécutés sur le parcours pour avoir donné à manger ou à boire aux colonnes de prisonniers.
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