Le président el-Assad s’était engagé à lutter contre la corruption en Syrie. Cependant, il était impossible de démettre de hauts fonctionnaires en période trouble sans prendre le risque de les voir rejoindre l’opposition armée.

Signe que les temps changent, le président du Conseil des ministres, Wael al-Halqi, a limogé le 6 novembre 352 hauts fonctionnaires, et le 7 novembre 28 autres.