En Sicile, à Ravanusa, Dario Musso, un homme de 33 ans, est passé en voiture dans sa ville avec un mégaphone pour réveiller ses concitoyens au cri de « La pandémie n’est pas grave ! Sortez, enlevez vos masques ! Ouvrez les magasins ! ».

Les témoins affirment tous qu’il était parfaitement sain d’esprit, simplement révolté.

Les carabiniers l’ont arrêté. Il a été envoyé en hôpital psychiatrique, ligoté durant 4 jours à un lit, nourri au goutte à goutte par un cathéter et placé sous sédatif.

L’hôpital refuse de communiquer.

L’article 21 de la Constitution italienne dispose : « Tout individu a le droit de manifester librement sa pensée par la parole, par l’écrit et par tout autre moyen de diffusion ». L’article 32 : « Nul ne peut être contraint à un traitement sanitaire déterminé, si ce n’est par une disposition de la loi. La loi ne peut, en aucun cas, violer les limites imposées par le respect de la personne humaine ».