Personnalités
Bush, George W.

L’archevêque sud-africain et Prix Nobel de la Paix, Mgr Desmond Tutu est d’avis que l’ex-président des Etats-Unis George W. Bush et l’ex-premier ministre britannique Tony Blair devraient être poursuivis par la Cour pénale internationale (CPI) pour avoir déclenché l’invasion de l’Irak en 2003.
Dans un article publié sous sa signature ce dimanche 2 septembre 2012 dans le quotidien britannique The Observer, Mgr Desmond Tutu rappelle que Bush et Blair en sont arrivés à falsifier des données fournies par (...)

L’opinion publique latino-américaine s’est indignée d’un bref extrait d’un reportage de la BBC, largement repris par les télévisions du continent. On y voit les deux envoyés spéciaux des Etats-Unis pour l’aide à Haïti, les anciens présidents Bill Clinton et George W. Bush serrant les mains de la foule en présence de nombreux photographes.
Cependant, M. Bush ne supporte pas le contact des mains des Haïtiens et s’essuie discrètement sur la chemise de M. Clinton.
Pour sa défense, les commentateurs (...)
Les États-uniens, prisonniers de leurs mensonges
11-Septembre : George Bush vous a-t-il dit la vérité ?par
Thierry Meyssan

Huit ans après les attentats du 11-Septembre, Thierry Meyssan —qui avait initié la contestation mondiale sur la validité de la version bushienne des événements— récapitule l’état du débat pour le nouveau magazine russe Odnako.
Le dissident français dénonce le « rideau de fer » hermétique qui sépare les peuples de l’OTAN du reste du monde. Soumis à un matraquage médiatique, ils ignorent tout des débats qui se développent hors de l’Occident et continuent de croire que la contestation du 11-Septembre est limitée à quelques associations activistes.
Thierry Meyssan s’interroge aussi sur la naïveté des Occidentaux qui croient à un scénario infantile de comics américain selon lequel une vingtaine de fanatiques aurait pu blesser au cœur le plus grand empire militaire du (...)
La construction de l’impunité par la propagande
George W. Bush devrait-il être arrêté à Calgary, en Alberta, et jugé pour crimes internationaux ?par
Anthony J. Hall

Pendant de trop longues années, quelques sociologues ont battu le haut du pavé en participant à une campagne de propagande visant à dénigrer toute critique de la politique des États-Unis en l’assimilant à une fascination pathologique des masses pour le complotisme. Les temps changent. Lors de la prestigieuse conférence annuelle de sociologie de l’université de Winnipeg, le 6 mars 2009, le professeur Anthony J. Hall s’est interrogé sur l’impunité de l’administration Bush que lui procure le tabou du 11-Septembre. Nous reproduisons la version développée de son intervention.

La presse européenne, qui avait mis en doute les révélations de l’ambassadeur Craig Murray, les rapports du Conseil de l’Europe et l’enquête du Parlement européen sur les prisons secrètes de la CIA, se félicite des derniers discours de George W. Bush. Le président des États-Unis a en effet reconnu les faits et annoncé la fermeture de ces prisons. Il a réitéré que son pays ne pratiquait pas la torture.
Pour la presse atlantiste, cet épisode montre que les États-Unis sont toujours un État de droit dans (...)

En annonçant, dans son discours d’investiture, son intention de passer outre le droit international et d’imposer la loi du plus fort, George W. Bush a plongé l’humanité soixante dix ans en arrière. Dans une préface au best seller espagnol « El Neron del Siglo XXI », Thierry Meyssan décrit le long chemin par lequel les États-Unis qui luttèrent contre ce que Brecht appelait « la bête immonde » en sont devenus la nouvelle incarnation.

Le président Bush a donné la troisième conférence de presse en prime-time de son mandat. Il a annoncé que l’occupation de l’Irak se prolongerait bien au-delà du « transfert de souveraineté » prévu à la fin du semestre. Non seulement aucun retrait n’est à l’ordre du jour, mais 20 000 hommes supplémentaires arrivent sur zone. Il a redéfini l’ennemi mondial des États-Unis : une idéologie politique de fanatiques musulmans qui œuvrent depuis 1983. Enfin, il a rejeté toute responsabilité dans les attentats du 11 septembre réaffirmant qu’ils ont été organisés par Oussama Ben Laden.

Le président Bush, qui cite souvent la science à l’appui de ses décisions, prend quelques libertés avec elle. Il a écarté des conseils scientifiques les meilleurs spécialistes pour laisser la place aux lobbyistes des grandes multinationales et aux évangéliques. Ainsi, il a confié la sécurité alimentaire aux éleveurs industriels, la santé des enfants aux industriels du plomb et la lutte contre le sida aux inquisiteurs de la « peste homosexuelle ». Enfin, après avoir lu La Bible, il n’est plus très sûr que les évolutionnistes aient raison contre les créationnistes.

Les pires craintes de la communauté internationale sont aujourd’hui vérifiées en Irak. Malgré la résolution 1483 du Conseil de sécurité de l’ONU et l’installation d’une surveillance de la gestion du Trésor irakien par l’Autorité provisoire de la Coalition, l’administration Bush a illégalement confisqué 1,7 milliards de dollars, tandis que le clan Bush a carrément détourné à son seul profit 4 milliards de dollars. Le pillage de l’économie irakienne ne se poursuit donc pas seulement au profit des États-Unis, mais surtout dans l’intérêt privé du clan Bush.
Leur fortune vient en partie des camps de la mort
Les Bush et Auschwitz, une longue histoirepar
Thierry Meyssan

George et Laura Bush se sont recueillis, le 31 mai 2003, à Auschwitz II-Birkenau. Le camp, construit en 1940, est devenu, en 1942, le principal centre d’extermination du IIIème Reich. Entre 1 100 000 et 1 500 000 personnes y furent assassinées. Des détenus furent aussi exploités comme main d’œuvre gratuite par les compagnies liées au régime nazi. C’est ainsi que prospéra à Oswiecim une usine appartenant à Prescott Bush, le grand-père de l’actuel président des États-Unis. Ce dernier a accepté sans états d’âme d’hériter du sinistre patrimoine.
À qui profite le crime ?
Les liens financiers occultes des Bush et des Ben Ladenpar
Thierry Meyssan

Les auteurs des attentats du 11 septembre 2001 et les personnes informées de leurs intentions pouvaient anticiper certaines retombées économiques de cette attaque. Dès lors, ils pouvaient engager des manœuvres spéculatives sur les compagnies aériennes propriétaires des avions détournés, sur les sociétés ayant leur siège social dans les tours jumelles du World Trade Center, et sur les assurances concernées. Ils pouvaient aussi anticiper une probable baisse générale de l’ensemble des valeurs cotées en Bourse. Pour ce faire, ils devaient spéculer à la baisse en achetant non pas des actions, mais des "puts", c’est-à-dire des "options de vente".
L’identification des initiés ne représente pas seulement un enjeu en matière de fraude boursière, mais surtout un moyen d’établir, directement ou indirectement, l’identité des auteurs des attentats et de leurs (...)

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