Hunter Biden, le fils du président des États-Unis, a répondu à une interview de CBS, diffusée les 4 et 5 avril 2021, à l’occasion de la parution de son livre Beautiful Things. Il a reconnu qu’un de ses ordinateurs personnels avait été saisi par le FBI.

Cette information avait été publiée par le New York Post en pleine campagne présidentielle. Il indiquait également le contenu de plusieurs fichiers attestant une vaste affaire de corruption [1].

Le président Donald Trump, qui avait demandé à l’Ukraine d’enquêter sur ces allégations, avait été accusé d’instrumenter ses fonctions à des fins politiciennes.

L’ancien directeur national du Renseignement, James Clapper, l’ancien directeur de la CIA, John Brennan, et son successeur, Michael Morell, avaient ensemble dénoncé une « désinformation russe ». La presse US et internationale n’avait pas osé reprendre les informations du Post, aujourd’hui confirmées.

Ces hautes personnalités ont toutes travaillé pour le président Barack Obama et Hillary Clinton.

[1« En Ukraine, le fils de Joe Biden joint l’utile à l’agréable » et « La corruption des Biden », Réseau Voltaire, 14 mai 2014 et 15 octobre 2020.