11 septembre 2001
Les attentats du 11 septembre 2001 constituent le mythe fondateur à partir duquel les Anglo-Saxons justifient leur hypertrophie militaire. Dans un monde où aucun État ne cherche à se mesurer à eux, ils se sont inventé un ennemi imaginaire et invisible d’une puissance inégalée : le terrorisme. Il n’est donc pas possible de contester cette domination militaire globale sans questionner la version gouvernementale des attentats du 11-Septembre, et l’existence même d’un prétendu complot islamique mondial.
Initié par Thierry Meyssan à partir de ce site Internet et de ses ouvrages, le Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre est aujourd’hui soutenu par la majorité de l’opinion publique mondiale.
Comme une pelote de fil que l’on dévide, le dossier du 11-Septembre commence par des interrogations sur la présence d’explosifs dans les ruines du World Trade Center et sur l’absence de débris d’avion dans celles du Pentagone. Il se poursuit avec des interrogations sur les autres attentats attribués à Al-Qaïda. Puis, il débouche sur la remise en cause des lois anti-terroristes et sur la contestation de la légitimité des guerres en Afghanistan et en Irak.


Le président Donald Trump a interdit aux membres de son cabinet de faire la moindre référence à de prétendus conspirateurs « islamistes » lors des commémorations des attentats du 11 septembre 2001.
À l’époque, le président George W. Bush avait accusé Oussama Ben Laden et une vingtaine de complices d’avoir organisé ces attentats et d’avoir ainsi défait la première armée du monde. Il avait constitué une commission d’enquête présidentielle qui avait validé sa version sans jamais passer en revue les autres (...)

Donald Trump a refusé d’endosser les habits présidentiels de ses prédécesseurs et a consacré son discours d’investiture à brocarder le Système et à annoncer un changement de paradigme. Il a constitué son équipe de Sécurité autour de deux thèmes : l’éradication de Daesh et l’opposition au 11-Septembre ; deux caractéristiques qui visent à mettre un terme au processus de globalisation.

Depuis quinze ans des experts stipendiés par le gouvernement fédéral états-unien assurent que l’effondrement des Tours jumelles et de la Tour 7 du World Trade Center, le 11 septembre 2001, sont imputables à la projection de deux avions de ligne sur les deux premières tours.
La très prestigieuse European Physical Society ne l’entend pas ainsi. Elle vient de publier, dans sa revue European Physics News, un article de Steven Jones, Robert Korol, Anthony Szamboti et Ted Walter, mettant en évidence (...)

Les États-Unis et leurs alliés commémorent les 15 ans du 11-Septembre. C’est pour Thierry Meyssan l’occasion de faire le point sur la politique de Washington depuis cette date ; un bilan particulièrement sombre. De deux choses l’une, soit la version des attentats par la Maison-Blanche est authentique, et dans ce cas leur réponse aux attaques est particulièrement contre-productive ; soit elle est mensongère et dans ce cas, ils ont réussi à piller le Moyen-Orient élargi.

Nous avons publié, le 11 mars 2015, une brève intitulée « CBS renonce à traiter du 11-Septembre ». Nous y relations la mort de Bob Simon, David Carr et Ned Colt, trois célèbres journalistes états-uniens.
Nous indiquions que, selon un quotidien chilien, tous trois travaillaient sur un reportage de 60 Minutes relatif au 11-Septembre, basé sur des documents du Kremlin. Nous soulignions que nous n’avions pas de confirmation des contacts entre les journalistes et le Kremlin.
Alerté par plusieurs (...)

Les extraits rendus publics du rapport de la Commission sénatoriale sur le programme secret de torture de la CIA font apparaître une vaste organisation criminelle. Thierry Meyssan a lu pour vous les 525 pages de ce document. Il y a trouvé la preuve de ce qu’il avance depuis des années.

Thierry Meyssan fut le premier à démontrer l’impossibilité de la version officielle des attentats du 11-September et à en conclure à une modification profonde de la nature et de la politique du régime états-unien. Alors que la plupart de ses lecteurs continuent à se passionner pour cette journée, il a poursuivi son chemin et s’est engagé contre l’impérialisme au Liban, en Libye, et aujourd’hui en Syrie. Il revient ici sur cette folle journée.

Les appels téléphoniques, passés par les passagers des avions détournés le 11-Septembre, ont enflammé notre imaginaire. Ils sont la base des récits sur la manière dont les attentats ont été réalisés. Pourtant, douze ans plus tard, les experts du 9/11 Consensus Panel ont montré qu’ils n’ont jamais existé.

Le rôle d’Israël dans les événements du 11 Septembre 2001 — qui déterminent le 21ème siècle — fait l’objet d’âpres controverses, ou plutôt d’un véritable tabou au sein même du « Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre » (9/11 Truth Movement) provoquant la mise à l’écart de l’homme par qui le scandale arriva, Thierry Meyssan. La plupart des associations militantes, mobilisées derrière le slogan « 9/11 was an Inside Job » (Le 11-Septembre était une opération intérieure), restent discrètes sur les pièces à conviction mettant en cause les services secrets de l’État hébreux. Laurent Guyénot fait le point sur quelques données aussi incontestables que méconnues, et analyse les mécanismes du déni.

La terre se dérobe sous les pieds de la Commission présidentielle d’enquête sur les attentats du 11-Septembre. La principale source de son rapport —Abou Zoubeida, dont les aveux furent extorqués sous la torture— est désormais officiellement considérée comme sans valeur. Et l’agent de la CIA qui a arrêté et interrogé Zoubeida a admis avoir tout inventé.

Toujours emprisonné à Guantánamo Bay, Abou Zoubeida est la principale source de renseignement occidental sur Al-Qaida. Il a donné sous la torture le nom d’autres responsables de l’organisation terroriste qui ont été arrêtés à leur tour et ont fourni les autres informations dont disposent les autorités états-uniennes. Bref, ce que les autorités US disent savoir sur Al-Qaida, elles le doivent d’abord à cette source. Problème : il est aujourd’hui admis qu’Abou Zoubeida n’a jamais été membre d’Al-Qaida et que ses aveux obtenus sous la torture n’étaient qu’un moyen pour lui d’abréger ses souffrances. L’essentiel de ce que le contre-espionnage US déclare savoir d’Al-Qaida est sorti de son imagination fertile. Et tout est faux.

Dans la troisième et dernière partie de son étude, Peter Dale Scott montre que plusieurs administrations ont participé à la préparation de la version officielle du 11-Septembre, soit en fabriquant des indices, soit en retenant des renseignements. Ce faisant, l’ancien diplomate canadien met en évidence l’action d’institutions états-uniennes profondes, inconnues du grand public.

Poursuivant son analyse, Peter Dale Scott montre que les accords de liaison entre services secrets d’États alliés permettent de développer des services parallèles et des opérations hors contrôle. L’ancien diplomate canadien met ainsi à jour la méthode qui a permis aux comploteurs du 11-Septembre d’utiliser les moyens de l’appareil d’État US à l’insu de leurs collègues.

À l’occasion de la sortie de la version française du dernier livre de Peter Dale Scott, « La Machine de guerre américaine », nous publions une étude détaillée du diplomate canadien sur les attentats du 11-Septembre. Il y met en évidence des éléments de préméditation par une faction du complexe militaro-industriel états-unien.

Le dixième anniversaire des attentats du 11-Septembre donne lieu à une débauche d’articles, de documentaires et de programmes audio-visuels pour certifier la version bushienne des événements, alors que l’opinion publique mondiale est devenue majoritairement sceptique. Pour Thierry Meyssan, qui est à l’origine du débat mondial sur l’interprétation des attentats, cette écrasante campagne médiatique est l’ultime tentative du système impérial pour préserver son apparente légitimité et justifier ses prochaines guerres.

Nos lecteurs savent que le décalage entre la classe dirigeante française et celle des États indépendants des États-Unis ne cesse de s’approfondir à propos du 11-Septembre. Le monde s’est divisé autour de deux interprétations contradictoires du même événement. Un sondage réalisé par HEC Jr Conseil pour ReOpen911 montre que ce même décalage est en train de s’installer en France entre la classe dirigeante et la population.

Que penseriez-vous si la police, après une explosion suspecte qui aurait fait écrouler une maison en tuant les gens qui y habitaient, avant toute chose enlevait et détruisait tout ce qui reste ? C’est ce qu’ont fait, il y a dix ans, les autorités étasuniennes : elles ordonnèrent d’enlever immédiatement les structures en acier des tours écroulées le 11 septembre à New York.
Aucun doute, dans la version officielle, que la cause ne fût l’incendie provoqué par l’impact des avions détournés par les (...)

Le Centre culturel iranien de Paris organise quatre projections du film The 9/11 Blackbox (La boîte noire du 11-Septembre) présenté par l’Iran au Festival de Cannes.
Le réalisateur Mohammedreza Eslamloo a invité en Iran le politologue français Thierry Meyssan pour confronter leurs points de vue. Thierry réalise à Téhéran un documentaire sur les attentats du 11-Septembre et expose ses recherches à son ami, tandis que Mohammedreza lui fait visiter les hauts lieux de la Révolution islamique et lui (...)

La direction du 64e Festival de Cannes a décidé de mettre à l’honneur deux films d’opposants iraniens : Ceci n’est pas un film, de Panahi et Mirtahmasb, sera présenté en séance spéciale, tandis que Au Revoir, de Mohammad Rasoulof, s’ajoute à la sélection d’Un Certain Regard.
Conformément à sa ligne politique, le Festival a accepté cinq films présentés par l’Iran, mais a décidé de leur donner le moins d’importance possible.
Parmi ceux-ci, The 9/11 Black Box (La Boîte noire du 11-Septembre) de Mohamedreza (...)

Bonsoir. J’annonce ce soir, au peuple américain et au monde, qu’Oussama Ben Laden, le leader d’Al-Qaïda et le terroriste responsable de la mort de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants innocents, a été tué au cours d’une opération menée par les États-Unis.
Il y a près de 10 ans, un beau jour de septembre a été assombri par le pire attentat jamais mené contre le peuple américain dans notre histoire. Les images du 11 septembre sont à jamais gravées dans notre mémoire nationale : des avions détournés (...)

Intervenant, le 13 octobre 2010, devant les partisans de la Résistance réunis par dizaines de milliers à Al-Raya (banlieue sud de Beyrouth), Mahmoud Ahmadinejad est revenu, une fois de plus, sur la question du 11-Septembre.
Le président iranien, qui avait réclamé la création d’une commission d’enquête indépendante à l’Assemblée générale des Nations Unies, a réaffirmé que c’était le seul moyen de sortir par le haut de la crise internationale.
Développant sa pensée, il a indiqué que tout laissait à penser (...)

Le leader de l’opposition iranienne pro-US, Mir Hossein Mousavi, a accusé le président Mahmoud Ahmadinejad d’avoir isolé un peu plus le pays en demandant une commission d’enquête sur le 11-Septembre à la tribune des Nations Unies.
« Qui vous a mandaté pour nous mettre le monde entier à dos avec votre aventurisme et votre dictature qui conduisent à la grave situation économique et politique actuelle ? », a t-il déclaré sur son site web, Kaleme.com. « Ne vous applaudissez pas vous-même ! Convoquez un (...)

Le discours de M. Ahmadinejad à l’ONU a donné lieu à une vaste campagne de désinformation en Occident et à une prompte réponse de M. Obama en direction du peuple iranien. Au-delà des dépêches d’agence biaisées et en s’appuyant sur les textes originaux, Thierry Meyssan expose les vrais enjeux du débat indirect qui oppose les deux chefs d’Etat.

Le 11 Septembre 2001, le monde a assisté impuissant aux attentats qui ont endeuillé les Etats-Unis. Contre toute logique, l’administration Bush a imputé ces attaques à un complot islamiste ourdi par quelques fanatiques dans une grotte afghane. Cette imputation a été exploitée pour justifier une guerre au terrorisme qui devait commencer en Afghanistan et en Irak et se poursuivre, selon le président Bush, dans 60 Etats.
Au lendemain de ces attentats, j’ai ouvert un débat mondial pour contester cette (...)

(Le président parle en farsi ; interprétation en anglais assurée par la délégation ; version française définitive établie par les Nations Unies.
Cette version remplace la traduction provisoire, publiée à cette adresse. )
Je remercie Dieu tout-puissant de me donner une nouvelle occasion de prendre la parole devant cette Assemblée mondiale.
Je voudrais pour commencer rendre hommage à ceux qui ont perdu la vie lors des horribles inondations au Pakistan et exprimer mes sincères condoléances aux (...)

Le temps passe. Neuf ans après les attentats qui endeuillèrent les États-Unis, la lucidité et la ténacité de Thierry Meyssan portent leurs fruits : une large majorité de personnes dans le monde ne croit plus à la version gouvernementale des États-Unis. Ce phénomène s’observe jusqu’aux États-Unis, où un dernier sondage évalue à 74 % le nombre de citoyens pris par le doute. Même les responsables de la commission d’enquête présidentielle admettent ne pas être convaincus par le rapport qu’ils ont signé. Pour l’initiateur opiniâtre de ce débat, le temps n’est plus à discuter de l’impossibilité de la version officielle, il faut maintenant saisir l’ONU et poursuivre les réels coupables.

Le rapport officiel de la National Transportation Safety Board (NTSB) relatif aux deux aéronefs qui ont percuté le World Trade Center le 11 septembre 2001 fait apparaître qu’ils volaient respectivement à 945 km/h et 796 km/h.
Or, l’association états-unienne Pilots For 911 Truth relève que selon le fabriquant, les Boeing 767 ne sont plus manoeuvrables et se disloquent à basse altitude au-delà de 660 km/h. Ces données ont été confirmées par un des anciens dirigeants de la NASA, Dwain Deets.
Il s’ensuit (...)

Des agences de presse ont fait mention d’une lettre adressée par le président de la République islamique d’Iran, Mahmoud Ahmadinejad, au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, le 13 avril 2010.
Les premières dépêches indiquaient que l’Iran souhaitait l’ouverture d’investigations sur les attentats du 11 septembre 2001 et une condamnation des attentats commis dans le pays par le Jundallah, une organisation terroriste encadrée par l’OTAN.
Cependant, la revue Foreign Policy, éditée par la Brookings (...)


Le rapport de la « commission d’enquête » présidentielle passé au crible

L’US Army échoue à élaborer une simulation crédible de l’attentat du Pentagone