11 septembre 2001
Les attentats du 11 septembre 2001 constituent le mythe fondateur à partir duquel les Anglo-Saxons justifient leur hypertrophie militaire. Dans un monde où aucun État ne cherche à se mesurer à eux, ils se sont inventé un ennemi imaginaire et invisible d’une puissance inégalée : le terrorisme. Il n’est donc pas possible de contester cette domination militaire globale sans questionner la version gouvernementale des attentats du 11-Septembre, et l’existence même d’un prétendu complot islamique mondial.
Initié par Thierry Meyssan à partir de ce site Internet et de ses ouvrages, le Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre est aujourd’hui soutenu par la majorité de l’opinion publique mondiale.
Comme une pelote de fil que l’on dévide, le dossier du 11-Septembre commence par des interrogations sur la présence d’explosifs dans les ruines du World Trade Center et sur l’absence de débris d’avion dans celles du Pentagone. Il se poursuit avec des interrogations sur les autres attentats attribués à Al-Qaïda. Puis, il débouche sur la remise en cause des lois anti-terroristes et sur la contestation de la légitimité des guerres en Afghanistan et en Irak.


Le sergent de l’US Army Donald Buswell risque la dégradation et la cour martiale en raison de la rédaction de messages « déloyaux ». Pourtant, ayant participé à la guerre d’Irak, le sergent Buswell avait été blessé et avait reçu à ce titre la Purple heart, prestigieuse décoration militaire (photo : remise de la médaille). Il était, depuis, analyste militaire au fort Sam Houston au Texas. Son crime ? Avoir envoyé un email dans lequel il s’interrogeait sur la version officielle des attentats du 11 septembre (...)

Le journaliste états-unien Christopher Bollyn a été séquestré à son domicile pendant six heures à Hoffman Estates, dans la banlieue de Chicago. Il a eté passé à tabac devant sa femme et ses enfants, le 16 août 2006.
Selon ses déclarations, ses agresseurs auraient été des policiers locaux.
Christopher Bollyn s’est fait connaître par ses articles contestant la version gouvernementale des attentats du 11 septembre et par ses enquêtes sur le groupe de Bilderberg.
Il publie dans American Free Press, un (...)

Un nouveau sondage Scripps Howard/Ohio University décrit la compréhension des attentats du 11 septembre 2001 par l’opinion publique aux États-Unis.
12 % des États-uniens déclarent que le Pentagone n’a pas été touché par un avion de ligne, mais par un missile.
16 % des États-uniens déclarent que l’effondrement des Twin Towers n’a pas été causé par les avions qui les ont percutés, mais par des explosifs.
36 % des États-uniens déclarent que l’administration Bush est impliquée, activement ou passivement, (...)

Intervenantsur la scène internationale par le biais d’une cassette vidéo diffusée par Al-Jazeera, Ayman al-Zawahiri, présenté comme le « n°2 d’Al Qaïda », a appelé à l’union entre les sunnites et les chiites contre Israël. Il était temps : à l’évidence, la marque « Al Qaïda » a perdu l’essentiel de son attractivité en quelques jours ; les foules musulmanes se tournent vers le Hezbollah au fur et à mesure qu’il inflige des pertes à Tsahal.
Depuis cinq ans, « Al Qaïda » symbolisait une forme de résistance à (...)

L’édition norvégienne du Monde diplomatique a publié dans son numéro de juillet 2006 un remarquable dossier sur les attentats du 11 septembre concluant qu’ils sont le fruit d’un complot intérieur US. L’affaire fait grand bruit au point que, les uns après les autres, les grands médias écrits et audiovisuels du Royaume ont publié leurs propres enquêtes, soit acceptant le doute, soit arrivant à la même conclusion.
Alors que Le Monde diplomatique norvégien avait accordé au Réseau Voltaire l’autorisation de (...)

Giulietto Chiesa à la conférence « Axis for Peace 2005 » De gauche à droite : Jhannett Madriz Sotil, Ahmed Tibi, Issa El Ayoubi, Giulietto Chiesa, Antonio Alberto Vulcano, Mateusz Piskorski.
A propos du 11 septembre : qui est le comploteur ? Celui qui accepte la version officielle, selon laquelle 19 inadaptés, guidés par un monsieur qui ne sait pratiquement rien de ce qu’ils sont en train de faire, et qui se trouve à une distance de 20 mille kilomètres, dans une grotte afghane, arrivent à (...)

Alors que peu de journalistes français ou états-uniens doutent de la version des attentats du 11 septembre présentée par l’administration Bush, ils sont désormais 42 % des citoyens des États-Unis à remettre en question le dogme du complot islamique. Une contestation qui nourrit dans leur pays une défiance vis-à-vis des grands médias et un rejet des institutions politiques. C’est ce que révèle un sondage du très respecté institut Zogby International.

À la requête de l’association néo-conservatrice Judicial Watch, le département de la Défense des États-Unis a rendu publique la vidéo complète de l’attentat survenu le 11 septembre 2001 au Pentagone. La presse néo-conservatrice se réjouit de cette publication qui contredirait définitivement nos analyses. En réalité, la vidéo ne contient pas d’élément supplémentaire par rapport aux images déjà rendues publiques en 2002, et il reste absolument impossible d’y observer un Boeing 757-200. Cette séquence confirme au contraire l’analyse du commandant Pierre-Henri Bunel publiée par Thierry Meyssan dans son livre Le Pentagate et que nous reproduisons ici.

Le 16 mai 2006, le département de la Défense des États-Unis a rendu publiques deux vidéos prises par des caméras de surveillance et censées montrer qu’un avion s’est écrasé sur le Pentagone le 11 septembre 2001. La transmission aux médias de ces documents – qui ont déjà été diffusés sous la forme d’images statiques le 8 mars 2002 – intervient près de cinq ans après les évènements. Dans une déclaration faite à Paris, Thierry Meyssan considère ce geste comme une tentative pour désamorcer la polémique sur les attentats qui enfle en ce moment aux États-Unis. L’auteur de L’Effroyable imposture et du Pentagate se félicite de la publication de ces vidéos et invite chacun à constater par lui-même qu’aucune trace d’un quelconque Boeing 757-200 n’est observable sur les images.

La presse n’a pas relevé un long passage de la lettre adressée par Mahmoud Ahmadinejad à George W. Bush le 8 mai 2006. Le président iranien y met en effet violemment en doute la version officielle du 11 septembre 2001. « Monsieur le Président, dit-il en préambule. Les évènements du 11 septembre furent une horrible catastrophe. L’assassinat d’innocents est déplorable et horrible, où que ce soit dans le monde. […] Tous les gouvernements ont pour devoir de protéger la vie, les biens et le bien-être de leurs (...)

« Le ministère américain de la Défense a, pour la première fois, mardi 16 mai, diffusé deux vidéos montrant des images de l’avion qui s’est écrasé sur le Pentagone, à Washington, le 11 septembre 2001. » C’est ainsi que commence la dépêche de l’Agence France presse (AFP) reprise par de nombreux journaux. C’est aussi de cette manière que commençaient, mercredi 17 mai 2006, la quasi totalité des articles qui abordaient le sujet, quel que soit le journal, sa ligne éditoriale ou son public.
Si tous ces médias (...)

Michael Zebuhr (en photo) préparait un doctorat de biologie à la Clemson University et figurait parmi les membres du mouvement des « Scientifiques pour la vérité sur le 11 septembre », au sein duquel il jouait un rôle essentiel de coordination.
Accompagné de sa sœur, d’un ami et de Mme Suzanne Strong, sa mère, il sortait d’un dîner à Minneapolis samedi 25 mars 2006 lorsque deux individus se sont approchés pour exiger le portefeuille de Mme Strong, qui leur a été remis sans résistance, a déclaré la (...)

Aux États-Unis, « Les Scientifiques pour la vérité sur le 11 septembre » (Scholars for 9/11 Truth), contestent la version officielle des attentats du 11 septembre, qui selon eux, « viole les principes de la physique et de l’ingénierie ».
Après plusieurs années de recherches, de publications d’articles et de livres, cette association d’universitaires, regroupant des personnalités du monde scientifique et militaire, est persuadée que le World Trade Center n’a pu être détruit que par démolition contrôlée. (...)

« J’ai quitté les services secrets britanniques lorsque le MI6 a décidé de financer des associés d’Oussama Ben Laden », a déclaré David Shayler lors de la conférence internationale Axis for Peace, organisée les 17 et 18 novembre 2005 à Bruxelles par le Réseau Voltaire. « J’ai essayé de tirer l’alarme, mais c’est moi qu’on a mis en prison. » Agent des services de contre-espionnage de Sa Majesté la reine d’Angleterre (MI5), David Shayler avait révélé à la fin des années 90 le financement par le MI6 d’une cellule (...)

Ancien procureur général adjoint de Pennsylvanie, Philip Berg représente un groupe de familles des victimes des attaques du 11 septembre 2001 aux États-Unis, des familles qui « n’ont pas accepté les versements prévus pour acheter leur silence » et ont déposé une plainte contre l’état-major interarmes et la Maison-Blanche pour leur responsabilité dans les actions terroristes. À l’inverse, nombre d’autres familles se sont pliées à la procédure tout à fait légale qui fut utilisée à d’autres reprises, comme (...)

Le journaliste états-unien Christopher Bollyn a annoncé lors de la conférence internationale Axis For Peace, organisée par le Réseau Voltaire, les 17 et 18 novembre 2005 à Bruxelles, la publication prochaine dans une revue scientifique de la première expertise scientifique sur l’effondrement des tours 1, 2 et 7 du World Trade Center à New York le 11 septembre 2001. En effet, jusqu’à présent le public était tenu de croire sur parole l’administration Bush et les médias alignés lorsqu’ils affirmaient que (...)

Webster Tarpley, journaliste états-unien, s’est exprimé lors de la conférence Axis for Peace sur les formes modernes d’ingérence, en particulier sur l’exploitation de la menace terroriste. « On ne peut pas comprendre la politique actuelle des États-Unis si l’on mésestime la portée réelle du 11 septembre. Les attentats du 11 septembre ont été un coup d’État. La guerre contre le terrorisme est basée sur un mythe et est devenue une religion d’État obligatoire depuis ces évènements. La seule façon de lutter (...)

Tout comme les militaires organisent régulièrement des manœuvres pour tester leur matériel et leur organisation en vue de combats réels, les puissances publiques civiles ont mis en place des exercices de simulation d’attentats. Partant d’un scénario catastrophe tel qu’un avion suicide ou une bombe placée dans le métro, des cabinets de gestion de crise sont formés qui coordonnent les secours et les premières réactions. Mais l’étude de plusieurs cas récents montre que ce qui devait permettre de sauver des vies a, en fait, été utilisé pour faciliter des attentats. Des exercices de simulation se déroulaient ainsi à Londres le 7 juillet 2005 ou à New York le 11 septembre 2001…

Quatre ans après les attentats qui endeuillèrent les États-Unis, la polémique ouverte dans nos colonnes est plus que jamais d’actualité. Le rapport définitif enfin rédigé et rendu public par la Commission présidentielle Kean-Zelikow, loin de répondre aux questions que se posait le public, n’a fait qu’ajouter à la confusion. Il n’y a plus une version officielle des événements, mais un grand nombre de documents officiels contradictoires et incompatibles. Dans le monde entier, l’opinion publique exprime ses doutes, y compris aux États-Unis, où selon un sondage Zogby, plus de la moitié des New-yorkais ne croient plus ce que les autorités leur disent à propos de ces attentats. Dans un ouvrage magistral, le professeur David Ray Griffin passe au crible le travail de cette commission. Nous en reproduisons un extrait consacré aux prétendues tentatives d’interception des prétendus avions (...)

Rendant publique une analyse détaillée des attentats du 11 septembre 2001 à New York, Morgan Reynolds a déclaré, le 12 juin 2005 : « Si les trois grattes-ciels d’aciers du World Trade Center se sont bel et biens effondrés par une démolition contrôlée, alors l’hypothèse d’une conspiration interne et d’un attentat gouvernemental contre le peuple américain serait incontestable ». M. Reynolds est aujourd’hui professeur émérite d’économie à l’université A&M du Texas. Il était conseiller économique de George (...)

À l’initiative du millionaire Jimmy Walter, une série de conférences sur le 11 septembre a été organisée dans les principales capitales européennes. Des journalistes et écrivains états-uniens y ont démontré la responsabilité de l’administration Bush dans l’organisation de ces attentats et l’installation d’un régime d’exception. Ils ont appelé les gouvernements européens à ouvrir une enquête internationale. Nous reproduisons l’intervention de Thierry Meyssan à Londres.

Depuis trois ans et demi, la Russie reprend à son compte la rhétorique états-unienne de la « guerre au terrorisme international » et s’abstient de tout commentaire sur les attentats du 11 septembre 2001. Rompant avec cette posture, l’ancien n°2 du KGB, Leonide Chebarchine, affirme que le « terrorisme international » n’a aucune réalité et qu’Oussama Ben Laden est encore aujourd’hui un agent de la CIA. Dans un entretien exclusif à RIA Novosti, diffusé hors de Russie par le Réseau Voltaire, il analyse les mobiles pétroliers du bellicisme de Washington et montre que la stratégie du Pentagone conduit inexorablement à faire la guerre en Afghanistan hier, en Irak aujourd’hui et en Iran demain.
Le journaliste de CNN spécialisé dans les questions militaires Jamie McIntyre, qui possède un bureau au Pentagone et se trouvait sur place le matin du 11 septembre 2001, rapporte face à la caméra ses premières impressions après une inspection visuelle méticuleuse du lieu de l’impact. Voici la séquence vidéo de son témoignage à chaud, sa transcription et la traduction française de cette transcription.

Nous vous présentons la synthèse des éléments du dossier contre Dick Cheney, qui est désigné comme premier suspect pour les crimes du 11 septembre 2001 par Michael C. Ruppert, journaliste et écrivain membre du Collectif pour la vérité sur le 11 septembre, dans son livre « Crossing the Rubicon ».


Le rapport de la « commission d’enquête » présidentielle passé au crible

L’US Army échoue à élaborer une simulation crédible de l’attentat du Pentagone